dimanche 13 janvier 2008

Des vacances forcées

Mais revenons à nos moutons.



A Jouy l'Abbé donc, Mao et le Culte s'adonnaient à divers loisirs dont celui de se soulager sur les quelques batiments publics de la ville. Peu à peu ancrés dans la vie de la cité, le Culte devînt rapidement présent, envahissant pour les adeptes que nous appellerons plus tard de la Blasitude.

Mao, en tant que Juge, s'amusait il est vrai à libérer ses amis et à vider consciencieusement les caisses de la Prison. Mais rapidement, le Culte fût contraint à l'exil.

Gulbert avait tantôt entendu parler d'une charmante bourgade où il y fait bon vivre: Ocha, au Paradigme Vert.




Mao décontenancé en voyant la distance à parcourir en trois jours seulement

Mais en arrivant là-bas, fraîchement naturalisé, Mao fût surpris par la joie des indigènes.
Ocha était une ville très prospère, la cité de naissance de nombreux dirigeants de l'Empire. Alors que les provinces Paradigmiennes étaient du genre autonome, Ocha était très rapprochée du pouvoir central. Et donc des crédits. Cette période faste fût propice à l'installation d'une grande Maison pour le Culte. Le lieu de refuge était bien placé: pas loin des Auberges pour y dormir quand on le souhaite sachant que de grandes beuveries étaient organisées 5 jours par semaine.
Mao n'étudiait pas beaucoup pendant cette période, mais il apprit beaucoup. En dépouillant les quelques Rebels de Cambrousse, il rencontra un jour un... Palladionaute.
Il prît le temps de discutailler quelques temps avec lui, et apprît qu'au Nord-Est du Cybermonde se trouvait... l'Eldorado!
L'Empire du Profit, de la Coke, du Pheun, des JPP (il ne savait pas ce que c'était mais c'était super quand même), des Bishôs (bon à l'époque ça appartenait aux Seeliens)... Bref, tout ce qu'il faut pour que le Culte prospère économiquement!

Mao, revenu à Ocha, parla de son étonnante rencontre à ses amis à une table de l'Hôtel: il était heureux.

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